Yavin, fier d’être référencé dans l’annuaire Écotable

Très belle nouvelle : les terminaux de paiement Yavin sont désormais référencés au sein de l’annuaire de prestataires engagés d’Écotable. Quésako ? Une entreprise qui aide les restaurants dans leur démarche éco-responsable et qui valorise les plus vertueux d’entre eux grâce à un label.

Écotable a été séduite par la solution Yavin qui permet d’éviter l’impression des tickets CB. Aussi écologique qu’économique, cela permet donc un véritable gain de temps et d’argent !

Écotable, le super-concept éco-responsable

C’est alors avec cette démarche écologique et l’envie d’avoir un impact concret dans nos assiettes que Fanny Giansetto, Camille Delamar et Rodney Paul ont eu la bonne idée de créer Écotable. Leur mission ? Donner des outils aux restaurateurs pour s’engager dans une démarche environnementale. Comment ? Par la mise en réseau avec des producteurs et prestataires engagés notamment. Pari gagné !

Et pour distinguer ces restaurants français engagés et les mettre à l’honneur, l’entreprise a créé son propre label, gage de qualité et de respect envers le consommateur et la planète.

Autre valeur ajoutée, la politique de sensibilisation de l’entreprise pour une alimentation plus durable. Cela se traduit notamment par la création d’un podcast dédié qui décrypte les enjeux environnementaux et sociaux actuels. Au programme, un épisode hebdomadaire pour répondre aux diverses interrogations des consommateurs. Par exemple : “Demain, tous végétariens ?”, “Pouvons-nous continuer à manger du fromage ?”, “Peut-on faire confiance au label bio ?” etc.

Analyser, communiquer et impacter : deal

Mais le véritable point fort du projet, c’est qu’Écotable ne s’arrête pas uniquement à la sélection de restaurants éco-responsables mais leur fournit également une feuille de route à suivre avec de véritables tips pour devenir les leaders de demain du 100 % écolo.

Des recommandations qui s’appuient sur plusieurs grands thèmes : l’approvisionnement, le menu, l’impact sur la santé des employés et du consommateur, la gestion des déchets et du recyclage, la volonté de préserver les ressources naturelles, la qualité de la communication interne et externe et l’éthique globale du restaurant.

L’objectif ? Baisser de moitié leurs émissions de CO2, réduire considérablement le gaspillage, valoriser les biodéchets et économiser environ 1L d’eau par couvert. Autrement dit, agir pour la planète !

Un audit environnemental qui confronte les restaurateurs aux enjeux d’aujourd’hui et, surtout, de demain pour favoriser une restauration durable.

La communauté Écotable depuis 2019

Il y a aussi dans ce projet un vrai engagement social et c’est ce qui le rend si beau. Quelques mois après son lancement, Écotable a également créé une association baptisée “La Communauté Écotable”. L’idée ? Mettre en place une association. Celle-ci a vu le jour en 2019 dans l’optique de fédérer les citoyens intéressés par la restauration durable. L’objectif est clair : sensibiliser tous les acteurs du monde de demain (restaurateurs, fournisseurs, citoyens) au fabuleux défi de la transition alimentaire. Challenge accepted !

En 2020, l’association s’est mobilisée au cours de deux opérations citoyennes baptisées “Restaurons les soignants durablement” et “Restaurons les étudiants durablement”. Grâce à des campagnes de financement participatif, les citoyens pouvaient acheter des repas durables pour les soignants puis pour les étudiants, cuisinés par les chef.fe.s engagés dans l’association.

Au total, l’association a distribué plus de 30 000 repas au personnel soignant lors du premier confinement en région parisienne.

Mettre à l’honneur la cuisine durable, de la fourche à la fourchette. Avec pour objectif de restaurer ceux qui étaient impactés par la crise sanitaire. Une jolie idée qui place la bienveillance au cœur du projet.

La mission Yavin : arrêtons l’impression des tickets CB !

C’est avec cette même conscience écologique et cette volonté de mieux faire que les terminaux de paiement Yavin ont été pensés. Le constat est simple : les tickets CB imprimés finissent bien trop souvent jetés ou oubliés, ce qui peut paraître aberrant au vu du coût financier et du poids environnemental que cela représente. Pour contextualiser, une boulangerie utiliserait environ 6km de papier par an rien que pour l’encaissement.

La solution 2.0 ? La dématérialisation des tickets CB avec les terminaux de paiement innovants Yavin. Plus de tickets imprimés à la chaîne, fini la surconsommation de papier : une aubaine pour le réchauffement climatique.

Les dangers des bobines thermiques

S’il est évident que le ticket CB digitalisé constitue un avantage écologique, c’est sans compter sur la présence de Bisphénol A (BPA), perturbateur endocrinien avéré qui présente un vrai risque pour la santé du consommateur.

C’est l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) qui informait en 2013 sur les dangers du papier thermique. Sur la liste (non exhaustive) des risques liés à la présence de BPA : déséquilibres hormonaux, infertilité, diabète, obésité et autres réjouissances. Verdict : il n’y a plus grand intérêt à conserver la version papier des tickets CB.

Yavin, le terminal de paiement écologique

Face à l’urgence climatique, pour lutter contre le gaspillage et dans une logique d’économie circulaire, différents projets de loi avaient déjà été adoptés au cours de l’année 2020. Tous visant à réduire considérablement l’impression des tickets de caisse qui était jusqu’alors systématique.

Une petite révolution puisque, fun fact, le ticket de caisse, au même titre que le ticket CB, s’avère être un papier qui ne se recycle pas. Pour cause, sa petite taille et son poids trop léger. Mais aussi les différents perturbateurs endocriniens qu’il est susceptible de contenir. Le recycler risquerait alors de contaminer les autres déchets.

Cela, ajouté au constat que les clients conservent finalement très peu leurs tickets CB, laisse penser que sa version électronique, plus respectueuse de l’environnement, a tout gagné.

D’autant plus que si le ticket imprimé n’est pas nécessairement utile pour les consommateurs (moins de 10% d’entre-eux le conserveraient ), il ne l’est pas non plus pour les commerçants puisque tout est désormais informatisé. Ne pas imprimer son ticket CB, c’est préserver, à son échelle, la planète.

Économiser avec les terminaux de paiement Yavin

Outre l’économie de papier, on peut également considérer l’économie d’argent que cela engendre pour le commerçant.

Si le ticket CB dématérialisé n’est plus un sujet pour le respect de l’environnement, ce dernier permet également un véritable gain financier, non négligeable. Prenons l’exemple d’un restaurant possédant plusieurs adresses ouvertes 7/7, aux services du midi et du soir. Supposons qu’il encaisse suffisamment pour utiliser un lot de nouveaux rouleaux de papier neuf tous les deux jours. Cela lui permet de réaliser une économie de plusieurs dizaines d’euros par semaine, et plus de 1000 € d’économies à l’année.

L’envoi du ticket CB par mail et SMS sur le terminal Yavin

Autre fonctionnalité du terminal de paiement Yavin X : sélectionner l’option d’envoi du ticket CB directement par mail et/ou SMS, au choix du client.

Comment ça marche ? Une fois le paiement validé, le terminal de paiement affiche un menu avec plusieurs options cliquables : l’envoi du ticket par mail, par SMS ou son impression plus old school.Rien de plus simple, donc. Et il y en a pour tous les goûts !

Autre option pour les plus engagés : le TPE Mini X, sans imprimante aucune. Un terminal de paiement version mobile, ultra compact, plus fin qu’un IPhone. Autrement dit, vous retrouvez les mêmes fonctionnalités (exceptée l’impression ticket), mais dans une version mini. Aussi pratique que design !

Holybelly et La Cantine Arkose, déjà adeptes des terminaux de paiement Yavin

Yavin et Écotable partageant les mêmes valeurs et engagements, ce n’est donc pas un hasard si de nombreux restaurateurs labellisés Écotable ont déjà accordé leur confiance aux terminaux de paiement Yavin 2.0.

Pour l’exemple, Holybelly, le coffee-shop parisien le plus stylé et healthy du 10e, a pris part à l’aventure Yavin il y a bientôt 1 an. Combiner terminal de paiement ultra connecté et petit déjeuner parfait, que demander de mieux ? Sans oublier la cantine parisienne Arkose qui triomphe dans le 20e, favorisant une cuisine locale et végétale, même pour les plus sportifs, et qui a souscrit aux terminaux de paiement Yavin depuis plus d’1 an.

Une belle aventure au service des commerçants pour vous proposer des solutions innovantes et adaptées à votre clientèle.